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Les Dernières Nouvelles d’Alsace ont bien annoncé notre stand d’information, sur les conditions d’élevage industriel de lapins et ce sont 12 personnes qui ont coopéré pour cette action.

La plupart d’entre nous, souvent militants de longue date, se sont cependant posé la même question que le public de tout âge, empressé et réceptif à notre message : « ho ! pour les lapins, je ne savais pas ! ». Effectivement, lorsqu’on parle d’élevage en batterie, on pense poulets, porcs, veaux, mais jamais à ces pauvres animaux, si doux et sans défense.

À la seule vue des photos, qui en disaient long, des centaines de passants sont venus signer notre pétition. Quelques-uns ont demandé un bulletin d’adhésion et tous ont emporté le tract d’information.

Un ancien éleveur de lapins est également venu nous apporter quelques précisions, une interlocutrice nous a fait remarquer que les barquettes de viande devraient être étiquetés « élevé en batterie », pour laisser le choix au consommateur, une autre a pensé qu’il faudrait que nous tenions un stand au Salon de l’Agriculture… Appréciations pertinentes, mais sans doute vœu pieux, lorsque l’on connaît la férocité des lobbies ….

Le soleil nous a accompagné, nous avons semé beaucoup de graines et c’est promis, nous recommencerons bientôt…

SH du Collectif Pour le Respect de l’Animal


Pour les victimes de la vivisection

  • Article du Mercredi 11 mars 2009

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Rien qu'en Europe, 26 millions d'animaux sont victimes de vivisection chaque année. Une situation inacceptable au vue des méthodes alternatives existantes.
A l'occasion de la révision de la directive européenne, nous nous sommes joints à Gaia Belgique, One voice et 8 autres associations représentantes de la Coalition européenne pour mettre fin à l’expérimentation animale devant le Parlement européen afin de demander la réduction progressive puis la fin des animaux dans les laboratoires. Merci à Madame la députée européenne, Mojca Drcar Murko, de nous avoir rejoint.


Pas de pitié pour les cochons

  • Article du Mardi 10 mars 2009

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Marianne et Ouest France dressent une actualité maussade au sujet des élevages de cochons en France ...de quoi soulever le problème des peines indulgentes et du mal-être animal...

  • Marianne2: « l’élevage intensif porcin continue de constituer un grave problème de santé public »

« Mais les beaux cochons musclés qui se restaurent paisiblement dans ces auges traditionnelles ne sont pas ceux qui iront nourrir les classes populaires en côtelettes à 5€ le kilo : 90% de la production porcine française se fait «en bâtiment». Chaque cochon est placé sur 0,7 à 0,8 m2 de caillebotis (parfois appelé par politesse «sol ajouré»), surface permettant l’évacuation des déjections de l’animal «par gravité», coincé entre des grilles qui l’empêchent de bouger.

Engraissée six mois pour pouvoir être vendue, lourde de 120 à 160 kilos, la bête est nourrie en batterie au dessus d’une rivière d’urine et de merde. Dans l’auge mécanisée présentée à son groin, la « soupe » : un mélange d’eau, de grain (blé ou soja fermenté, souvent importé) et d’additifs. La mixture est généralement fournie par l’industrie phytosanitaire et de composition confidentielle. Les curieux ont pu déceler dans cette bouillie des vitamines, des antibiotiques… et des antidépresseurs ! Une mesure compréhensible : les pauvres qui mangent le porc économisent ainsi les prescriptions de Xanax.

Si la ventilation s’arrête, tous les cochons meurent dans la demi-heure

Les calmants ont par ailleurs l’avantage d’éviter que les porcs ne se mutilent : Parfois séparés par une simple barrière, les cochons souffrent de la chaleur, des vapeurs et sont parfois pris d’accès de violence. Fournis par des « naisseurs », les porcelets ont la queue coupée, les dents cassées ou limées à vif et les mâles castrés pour éviter les « accidents» .

Une nervosité accentuée par les souffleries disposées au-dessus des animaux pour évacuer les gaz qui se dégagent du lisier : 3 m3 d’ammoniac pour 1 m3 de déjections. Avec le chauffage, la ventilation représente pas moins de 86% de la consommation électrique des exploitations, selon une étude de la chambre d’Agriculture de Bretagne. Mais il ne s’agit en rien d’une question de confort : en cas de panne, la concentration de gaz toxiques est telle que la durée de vie des bêtes est estimés à moins d’une demi heure. Raison pour laquelle les assureurs refusent de couvrir les élevages dont les groupes électrogènes n’assurent pas le redémarrage automatique en cas d’arrêt des ventilateurs. »

Un éleveur " considérant qu'il n'était plus le patron de son élevage " a laissé à l'abandon son élevage de porcs pendant au moins deux mois et le laisse mourir de faim.
Interrogé, l'éleveur leur aurait répondu que ce n'était pas son problème.
Au bout de deux ans, le tribunal l'a condamné à 1200 euros d'amende au total, soit... 8 euros par cochon! " Il a dressé un grand sourire, nous a souhaité une bonne journée et il est reparti... "

Ouest France, 2 mars 2009 cliquez pour agrandir


Premier stand d'information à Epinal

  • Article du Dimanche 1 mars 2009

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Une belle première dans les Vosges, avec la présence de Veglorraine.
Beaucoup de personnes sensibles aux animaux dans cette belle région, un très bon accueil, des personnes à la recherche d'informations.
Manquait toutefois des visuels sur la réalité de l'élevage pratiqué couramment, certaines discussions prenant pour référence à la condition animale "les cochons de mon enfance" ou "les oies du petit fermier du coin"...plus proche d'une image d'Epinal !


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