Les lapins sont entrés dans Paris !

  • Article du Lundi 7 juillet 2008

partager cet article du blog de L214

Jeudi 3 juillet et vendredi 4 juillet à Paris

Jeudi, nous nous sommes rendus à Carrefour, porte d'Auteuil. Très bon accueil de l'hypermarché. Brigitte s'est rendue devant le rayon de la viande de lapins pour expliquer à la direction du magasin les conditions standard en élevage de lapins et expliquer les spécificités (bien maigre en matière de bien-être animal) du label rouge (il y en avait une marque en rayon). Bien sûr la direction du magasin n'a pas pris directement position mais va étudier sérieusement la question et semblait en tout cas très ouverte et attentive à notre demande.

L'accueil des clients a été là aussi vraiment très enthousiaste, des dizaines de cartes postales ont été glissées dans la boîte à suggestion du magasin.



Nous nous sommes ensuite rendus dans un Monoprix. Accueil radicalement différent. Le directeur n'a montré aucune volonté de discussion. Il a même refusé que les clients du magasin puissent remettre une carte postale de soutien à notre demande, pas de boîte à suggestion, personne à l'accueil... Nous sommes restés une petite heure devant le magasin sur le trottoir pour expliquer aux passant que la viande de lapins vendue par Monoprix provenait d'élevage de lapins en cage en batterie.

Le lendemain, stand à la sortie du RER Havre-Caumartin. L'emplacement se trouve sur un secteur piéton très fréquenté. Nous avons récolté des centaines de signatures à notre pétition. Bien sûr, nous avions installé notre exposition, branché notre télé et distribué de centaines de tracts et cartes postales GMS.

Merci aux militants qui sont venus participer à cette étape parisienne, Hervé, Marc, Christophe, Stéphanie, Eric, Catherine, Claire, Mimi... (désolé si j'en oublie).



Question média, on pardonnera à Ingrid Bétancourt d'avoir éclipsé toutes les autres actualités :-) et on se consolera avec un article paru dans Politis et mention de notre campagne dans Néo Planète. Nous étions également accompagnés de journalistes indépendants (pigistes) qui vont proposer articles et photos à différentes rédactions.